Ed. Rouergue Noir 2011 Suspense (Chez Babel Noir d’Actes Sud en 2012)

Une plongée au cœur du Japon du 21è siècle et de ses traditions, à la poursuite d'un criminel de guerre sans pitié. Deuxième épisode de la série Thomas Kessler, confronté à l'extrême droite nippone. Un thriller historique basé sur des faits réels.

Sélection Grand Prix Littérature Policière de Cognac 2011

Sélection Prix Intramuros Cognac 2011

Sélection Festival Policier Montigny les C. 2011

Coup de cœur FNAC 2013

Coup de cœur France Inter 2012

Jolie surprise sur les bus et les gares de Paris !

Un roman inclassable. Impossible de résumer ce récit de 450 pages : historique, policier, géopolitique, d’amour aussi… J’ai beaucoup aimé !
Magazine Littéraire de FRANCE INTER
Le titre est trompeur (il pourrait s’agir d’un banal thriller). « Parce que le sang n’oublie pas » est pourtant un de ces livres que l’on reçoit en plein cœur et auquel on repensera longtemps après l’avoir rangé dans la bibliothèque. Un livre qui entraîne, sans ménagement, le lecteur ayant depuis longtemps oublié ses cours d’histoire au cœur de la guerre sino-japonaise qui fit rage entre 1937 et 1945. Sinologue réputé, Pascal Vatinel a choisi de situer une partie de son intrigue en 1937, au moment du massacre de Nankin. Bien des années plus tard, en avril 2009, Thomas Kessler, un journaliste français encouragé par un confrère chinois, se lance à la poursuite d’un criminel japonais ayant activement participé aux massacres. Entre Chine et Japon d’hier et d’aujourd’hui, une enquête édifiante et bouleversante sur les crimes de guerre et sur leurs conséquences. Un livre saisissant à mi-chemin entre le roman et le documentaire.
LE DAUPHINE LIBERE Florence Dalmas
Le roman noir est incontestablement le meilleur truchement pour évoquer l’Histoire avec un grand H. Le roman de Pascal Vatinel en témoigne. Sa connaissance parfaite de l’Asie permet à l’auteur, tout au long d’une intrigue riche en surprises et en rebondissements, de plonger au cœur d’un des plus terribles crimes de masse perpétrés au XXème siècle. Les épisodes japonais, parfaitement documentés, au cœur d’une extrême droite négationniste active et dangereuse, ne reculant devant rien pour maintenir les illusions du passé, sont instructifs et passionnants. La parfaite maîtrise de l’histoire des deux pays concernés, la connaissance intime de leur mode de vie actuel permettent à l’auteur d’éviter le piège du roman documentaire plombé par une érudition trop démonstrative et la volonté d’instruire à tout prix.
L’HUMANITE Roger Martin

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