Carnet de voyage au pays d’Oz, portraits et anecdotes australiens.
Excellent polar, une belle plongée dans l'Australie. Changement complet de décor avec ce nouveau polar de Pascal Vatinel. J'ai beaucoup aimé chacun des personnages, tous attachants, et au travers desquels on découvre une Australie décidément étonnante. L'écriture, les dialogues, l'humour mêlé au suspense, mais aussi le fond de l'histoire, m'ont tenue en haleine jusqu'à la dernière page. Les faits que révèlent ce récit, s'ils sont réels, sont très inquiétants. Jusqu'où ira la folie des hommes? Je recommande à 100% !
La Procure.com
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La Procure.com
Je suis mauvais juge car j'adore tous les livres de Pascal Vatinel. Il parle comme un explorateur, un journaliste ou un policier. On ne lâche pas son livre. C'est une sorte de road movie : un policier enquête sur la disparition d'une femme indigène. On en dit long sur la façon dont les indigènes, spoliés de leurs terres, ont été traités. C'est pourtant leur savoir qui permettra de retrouver les malfrats. C'est un livre d'ambiance, d'amitié, de courage.
Nathalie NIE
Nathalie NIE
Ne passez pas à côté de cet excellent polar qui se déroule au cœur de l'Australie profonde, dans la région sauvage des Goldfields ! Le rythme de l'action ne cesse de s'accélérer et nous oblige à tourner les pages les unes après les autres sans jamais lâcher l'histoire. Le personnage principal, jeune inspecteur de la police de Perth, est très attachant, tout comme son ami aborigène et son chien balafré. Dommage peut-être que la belle Barbara passe un peu vite !? En plus de l'action (et d'un humour omniprésent) on apprend une foule de choses sur cette terre lointaine et les agissements épouvantables liés au greenwashing! Y aura-t-il une suite ? Je l'espère !
FNAC.com
FNAC.com
L’intrigue du Chant des galahs nous amène au cœur d’une Australie où, entre les blancs et les Aborigènes, les tensions sont importantes. Le racisme est omniprésent. Les membres des mouvements de défense des droits des noirs sont vus par les autorités blanches comme des activistes qui sèment le trouble, des emmerdeurs qui contrarient une bonne gouvernance bien tranquille. Il y a aussi la présence d’une grande ONG, mondialement connue, disposant de gros moyens, dont l’objectif affiché est de mettre en place des programmes environnementaux mais dont le but réel est beaucoup plus intéressé. On a du mal à penser que de tels systèmes, décrits en détail dans le livre, n’existent que dans l’imagination de l’auteur. Il est plus probable que de grandes compagnies l’appliquent déjà. Dans ce roman nous trouvons à la fois : – une intrigue bien agencée – le décor très réaliste de l’Australie – des personnages crédibles et attachants – des considérations sociales et politiques pertinentes. C’est un excellent thriller, captivant et instructif.
Sang d’Encre Polars Raymond Pédoussaut
Sang d’Encre Polars Raymond Pédoussaut
Tout frais promu des services de la criminelle, Archie Anderson est affecté au bureau des personnes disparues. Il part à la recherche d'une figure maîtresse du peuple aborigène. Dans "Le chant des galahs" de Pascal Vatinel, le racisme et la violence font de la vie d'Archie un cauchemar. Jeune, brillant, un peu coincé, Archie est un solitaire. Fils d'un fermier chassé de sa terre au profit des aborigènes, il va être confronté à ce peuple dans une région aride, loin de celle où il est né. Dans la sauvage, sèche et poussiéreuse région de Goldfields-Esperance la chape de plomb du soleil n'est rien comparée à celle du silence. Les disparitions se multiplient, les chefs d'Anderson le pressent de boucler l'enquête et le patron de la police locale guette ses faux pas. C'est la rebelle Barbara qui entraîne Archie dans une guerre contre des racistes et des profiteurs armés jusqu'aux dents. Contre toute attente un policier aborigène et un guide peu bavard seront les seuls co-équipiers sur qui compter. Entre amour, amitiés et deuils, Archie sait désormais que la perte de la culture aborigène serait lourde pour l'Humanité. Il comprend enfin ce peuple qui vit depuis des millénaires sur cette terre qu'il partageait si mal avec eux.
COUP DE COEUR France Inter Livre Poche Jacqueline Pétroz
COUP DE COEUR France Inter Livre Poche Jacqueline Pétroz
Coup de cœur ! Partez pour des terres méconnues et découvrez les terres arides de l'Outback australien, un décor peu commun dans le monde des polars et pourtant si séduisant ! Histoire de l'Australie, relations entre Européens et Aborigènes, droits civils, environnement, grandes organisations financières et ONG sont au cœur de cette intrigue finement construite avec un rythme et une atmosphère invitant à l'observation et à la réflexion. Une lecture passionnante !
Médiathèque St Médard en Jalles
Médiathèque St Médard en Jalles
Polar rythmé et addictif dont l’intrigue se construit autour de la mission à gros intérêts financiers d’une de ces ONG crapuleuses qui ravagent des régions entières de l’Australie occidentale, au détriment des populations aborigènes. Le roman écrit par un fin connaisseur de l’Australie, fait résonner une actualité bouillonnante. Attachez vos ceintures et embarquez dans cette aventure aux nombreux rebondissements qui vous fait découvrir une Australie peu connue, à vitesse grand V ! Archibald Anderson, une jeune recrue brillante mais sans expérience, fraîchement sortie de l’école de détectives de Perth, a bien du pain sur la planche; et s’il obtiendra des résultats en mordant la poussière, faute de preuves concrètes qui lui échappent, il devra faire face à bien des compromis pour faire taire sa colère et ravaler sa rancœur face à la loi du silence...
Bien au-delà d’un excellent polar, c’est un livre instruit, généreux et courageux, c’est un travail d’enquête qui dévoile les arcanes d’un vaste Monopoly bien pourri ! L’auteur qui est sinologue, conférencier et grand voyageur, nous livre un bouquin tellement prenant que sa lecture passionnante m’a fait remiser au lendemain tout ce qui n’était pas incompressible au quotidien.
Lecteurs.com Dominique Jouanne
Bien au-delà d’un excellent polar, c’est un livre instruit, généreux et courageux, c’est un travail d’enquête qui dévoile les arcanes d’un vaste Monopoly bien pourri ! L’auteur qui est sinologue, conférencier et grand voyageur, nous livre un bouquin tellement prenant que sa lecture passionnante m’a fait remiser au lendemain tout ce qui n’était pas incompressible au quotidien.
Lecteurs.com Dominique Jouanne
Avec le Chant des galahs paru aux Éditions de l’Aube, Pascal Vatinel nous fait découvrir avec délice l’Australie, terre de contrastes communautaires. Sur cette terre lointaine, Pascal Vatinel place au cœur de son polar, la question environnementale. Une magnifique intrigue dans une partie du monde peu connue. Ce roman qui se dévore d’un bout à l’autre est une belle surprise.
Lecturama Laurent Schteiner
Lecturama Laurent Schteiner
Polar écologiste en Australie, découvrir l’absurdité du monde. Pascal Vatinel dans « Le chant des galahs » fait pénétrer à la fois dans la région quasi désertique de Goldfields-Espérance, en Australie, dans les us et coutumes des Aborigènes et dans la prise de conscience d’un policier honnête qui découvre son pays et ses corruptions comme ses préjugés meurtriers. Une interrogation sur le « capitalisme vert ».
Le Souffle Bleu Nicolas Béniès
Le Souffle Bleu Nicolas Béniès
C'est un très beau livre que je voudrais évoquer : « Le chant des galahs » (L'Aube / Mykros Noir), de Pascal Vatinel, écrivain français qui connaît très bien le continent australien. L'ouvrage débute ainsi : « D'aussi loin que remontent mes souvenirs, résonne en eux le chant des galahs. »
C'est un voyage que nous fait faire l'auteur, lui-même grand voyageur. Nous partons suivre le narrateur, Archie Anderson, de la Criminelle à Perth. Il est affecté au Bureau des personnes disparues et envoyé dans la région sauvage de Goldfield-Esperance afin d'enquêter sur des disparitions d'Aborigènes. On assiste à une suite d'événements intrigants – on voit la vie personnelle d’Archie – ses souvenirs – on découvre une Australie profonde – toute une galerie de portraits – une intrigue spéciale par son thème et le tout avec « Le chant des galahs » qui, parfois, envahissent le ciel par centaines pour plonger sur des plantations et y trouver leur nourriture – mais ils sont tellement beaux que c'en est déconcertant pour le narrateur. Observations sur la vie des Européens avec les véritables résidents – leurs lois – la découverte de cette nature si lointaine, donc évocations sur l'environnement – les ONG… mais ainsi que je le disais plus haut, c'est un livre à découvrir. Pour une fois, je préfère en dire moins que d'habitude, car ce serait raconter l'histoire et, croyez-moi, ce serait trop dommage. Je vous laisse donc le découvrir : il est paru le 8 avril dernier.
Lecteurs.com Nadia d’Antonio
C'est un voyage que nous fait faire l'auteur, lui-même grand voyageur. Nous partons suivre le narrateur, Archie Anderson, de la Criminelle à Perth. Il est affecté au Bureau des personnes disparues et envoyé dans la région sauvage de Goldfield-Esperance afin d'enquêter sur des disparitions d'Aborigènes. On assiste à une suite d'événements intrigants – on voit la vie personnelle d’Archie – ses souvenirs – on découvre une Australie profonde – toute une galerie de portraits – une intrigue spéciale par son thème et le tout avec « Le chant des galahs » qui, parfois, envahissent le ciel par centaines pour plonger sur des plantations et y trouver leur nourriture – mais ils sont tellement beaux que c'en est déconcertant pour le narrateur. Observations sur la vie des Européens avec les véritables résidents – leurs lois – la découverte de cette nature si lointaine, donc évocations sur l'environnement – les ONG… mais ainsi que je le disais plus haut, c'est un livre à découvrir. Pour une fois, je préfère en dire moins que d'habitude, car ce serait raconter l'histoire et, croyez-moi, ce serait trop dommage. Je vous laisse donc le découvrir : il est paru le 8 avril dernier.
Lecteurs.com Nadia d’Antonio
Certains d'entre vous se disent peut-être "Encore un polar !". Ben oui… mais non. L’auteur donne une somme de renseignements, au fil de la narration, à propos des habitudes de vie des Aborigènes, et leurs relations avec la communauté australienne blanche. Sans oublier le désert, l'Outback, personnage à part entière, à ne surtout pas négliger si on veut rester en vie...
Grand voyageur, Pascal Vatinel connaît parfaitement et intimement le continent australien. Et il nous le livre ici dans toute sa vérité. N'hésitez pas à prendre une leçon de vie...
Aimerlirecrire Pierre Zylawski
Aimerlirecrire Pierre Zylawski
Ce que j'apprécie dans les ouvrages de Pascal Vatinel (ses polars comme ses livres jeunesse), en plus de son écriture remarquable, c'est l'art avec lequel il nous offre des fictions d'autant plus passionnantes qu'elles traitent de faits authentiques sur lesquels il a enquêté avec minutie. Avec le Chant des galahs, pour nous faire voyager au plus profond de l'Australie, à la rencontre de ses différentes communautés, le romancier a placé la question environnementale au cœur de son intrigue. D'évidence, les événements de ces derniers mois font écho à son récit de la plus extrême façon. L'excellente enquête à laquelle Pascal Vatinel nous convie permet, comme chaque fois, de découvrir et apprendre plein de choses sur cette terre lointaine et soumise elle aussi à une société moderne où certains appétits se révèlent aussi féroces qu'insatiables. Un formidable polar paru aux éditions de l'Aube (collection Aube Noire), que je recommande absolument.
Babelio
Babelio
Nous sommes en Australie occidentale. Archie Anderson doit enquêter sur la disparition d’aborigènes, des activistes réclamant des droits supplémentaires pour leur terre et leur peuple. Il faut savoir que, sur ces terres arides et inhospitalières, certaines espèces animales et végétales sont hautement protégées. Une association mandatée doit y intervenir, mais avec des méthodes peu orthodoxes. Pascal Vatinel signe un polar captivant et rondement mené. On ne le lâche pas."
Librairie La Géothèque Nantes
Librairie La Géothèque Nantes
Le chant des galahs est une enquête palpitante au cœur de l'Australie où la cohabitation entre les Australiens blancs et les Aborigènes connaît un regain de tension sur fond de restitution des terres au peuple ancestral. Avec son inspecteur Archie Anderson, Pascal Vatinel a créé un héros intrépide et attachant dont on espère vivre bientôt de nouvelles aventures.
Librairie A livre Ouvert Woluvé St Lambert (Belg.)
Librairie A livre Ouvert Woluvé St Lambert (Belg.)
Un excellent polar qui reprend les canons du genre. Un suspense haletant en terre aborigène et au fin fond de l’Australie « poussiéreuse », une Australie « Hors-piste ». L’originalité et la grande force de ce polar, c’est justement ce décor dans lequel l’auteur a souvent voyagé. Une originalité tirée aussi du contexte social que décrit ce récit. Les Éditions de l’Aube se présentent comme une maison engagée, et c’est ici vraiment le cas avec les tensions entre communautés blanche et Aborigène qui dessinent une réalité sociale en Australie. Si vous avez envie d’évasion, de suspense et si vous avez envie de mieux comprendre le monde dans lequel on vit, je vous conseille vivement cet ouvrage.
Librairie La Géosphère Magali Brieussel
Librairie La Géosphère Magali Brieussel
Mon coup de cœur pour 2020 ! Je recommande vivement ce roman. Tout y est enthousiasmant, la beauté de l'écriture, sa poésie, l'intrigue politico environnementale, les personnages très attachants et l'immersion dans cette région d'Australie. Ma plus belle découverte chez un éditeur qui a déjà un catalogue formidable.
Amazon
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Excellent polar qui plonge ses lecteurs dans la complexité et les paradoxes de la société australienne. L'outback est magnifiquement décrit, l'intrigue captivante. Au-delà du dépaysement, c'est une invitation à s'interroger sur les valeurs humaines et écologiques prônées par ce pays-continent.
Amazon
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Un décor peu commun pour une magnifique enquête
Les hasards de la programmation éditoriale font parfois bien les choses. C’est le cas avec le roman de Pascal Vatinel qui a pour décor le cœur de l’Australie où le romancier a placé une intrigue qui n’est pas sans rapports avec la situation que vit le continent ces derniers mois.
C’est à une découverte d’une partie de l’Australie profonde à laquelle nous convie le romancier, les rapports entre les Européens et les autochtones, les lois édictées pour rendre ce que ceux-ci possédaient, suscitant cependant bien des rejets. On découvre nombre de détails sur la vie quotidienne dans ces espaces désertiques.
Pascal Vatinel construit son intrigue sur une triste réalité, à partir d’éléments concrets en vigueur dans des pays capitalistes. Avec cette matière première qui a trait à l’environnement, il montre comment des financiers, des investisseurs, sous couvert de belles paroles, de pseudos ONG, d’affichages mensongers, de détournements de décisions pourtant salutaires, peuvent continuer à ravager des régions entières, de s’approprier le bien commun de l’Humanité, comme, par exemple, l’eau qui devient une matière bien plus rentable que le pétrole.
C’est une magnifique intrigue que nous offre Pascal Vatinel, servie par une belle galerie de protagonistes avec la découverte d’un environnement peu connu, tant par l’éloignement que par la chape de silence qui pèse sur la situation de ces régions.
Le Littéraire.com Serge Perraud
Les hasards de la programmation éditoriale font parfois bien les choses. C’est le cas avec le roman de Pascal Vatinel qui a pour décor le cœur de l’Australie où le romancier a placé une intrigue qui n’est pas sans rapports avec la situation que vit le continent ces derniers mois.
C’est à une découverte d’une partie de l’Australie profonde à laquelle nous convie le romancier, les rapports entre les Européens et les autochtones, les lois édictées pour rendre ce que ceux-ci possédaient, suscitant cependant bien des rejets. On découvre nombre de détails sur la vie quotidienne dans ces espaces désertiques.
Pascal Vatinel construit son intrigue sur une triste réalité, à partir d’éléments concrets en vigueur dans des pays capitalistes. Avec cette matière première qui a trait à l’environnement, il montre comment des financiers, des investisseurs, sous couvert de belles paroles, de pseudos ONG, d’affichages mensongers, de détournements de décisions pourtant salutaires, peuvent continuer à ravager des régions entières, de s’approprier le bien commun de l’Humanité, comme, par exemple, l’eau qui devient une matière bien plus rentable que le pétrole.
C’est une magnifique intrigue que nous offre Pascal Vatinel, servie par une belle galerie de protagonistes avec la découverte d’un environnement peu connu, tant par l’éloignement que par la chape de silence qui pèse sur la situation de ces régions.
Le Littéraire.com Serge Perraud
Polar passionnant, les personnages sont attachants, d’autres, effrayants à souhait. L’actualité politique du pays confirme tout le fond de ce roman. L’écriture est excellente, cela se lit sans avoir, jamais, envie de lâcher le livre. Je conseille vivement.
Amazon
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Quel plaidoyer en faveur des Aborigènes! Que leur connaissance de la nature et sa préservation puisse réveiller toutes les consciences courageuses, les mobiliser contre le culte de l'argent, cette fausse richesse. Combat utopique, cela va sans dire, mais il dépend de la survie du vivant. Ce roman au rythme trépidant, est loin d'être inventé, car il dévoile le double jeu des prédateurs qui se font passer pour des écologistes afin de voler et de polluer en toute impunité de vastes territoires. L'extrême violence de certaines scènes, comme celles de courses poursuites en plein désert sur des kilomètres et en pleine chaleur, ne laisse pas le lecteur indemne. Il se voit déjà à l'hôpital pour s'en remettre! Un très grand bravo pour cette enquête policière menée tambour battant. L'écriture fait penser à un boxeur qui cognerait sur les mots pour mettre K.-O les trop nombreux salauds qui ressemblent à ces « serpents dont le venin peut encore tuer même si leurs têtes sont coupées ». C'est tout à fait le scénario d'un film qui devrait conquérir plus d'un metteur en scène.
Danielle S.
Danielle S.